En Belgique, plus d’une personne sur cinq (22%) pense que les punitions physiques sont bénéfiques pour l’éducation, tandis que 17% estiment que les punitions psychologiques le sont également. Ces statistiques proviennent d’un sondage représentatif réalisé auprès de plus de 2000 personnes en Belgique francophone en mars 2020.

Pour autant, les violences, qu’elles soient physiques, verbales ou psychologiques, laissent des marques durables sur les enfants : anxiété, perte de confiance en soi, hypervigilance, et même des comportements antisociaux ou violents à l’adolescence et à l’âge adulte.

L’association « Défense des Enfants International – Belgique » et de nombreux partenaires

mènent une campagne pour sensibiliser parents et professionnel·les de l’éducation aux conséquences de la violence dans l’éducation, en particulier à la violence physique et psychologique, souvent moins visible mais socialement tolérée envers les enfants.

L’objectif ? Proposer des conseils et astuces pour une éducation sans violence. Des ressources et des astuces concrètes pour mettre en place des méthodes éducatives sans violence sont disponibles sur www.grandirsansviolence.be.

Ensemble, faisons progresser les pratiques !